on the road again

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philosophie de vie


il est sage d'être fou

C’est de la folie de se prétendre fou  mais il est sage de l’être.
La folie la plus destructrice, c’est l’excès d’être sage.
Mieux vaut alors  être ivre de sa connerie. 

23/11/2015
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être fou

La qualité essentielle de l'homme c'est d'être fou.                                   
Et que tout le problème c'est de savoir comment,
il soigne sa folie.
Si vous n'étiez pas fou, comment voulez vous
que quelqu'un soit amoureux de vous,
pas même vous.
Et que les fous que l'on met
dans les asiles psychiatriques,
c’est des types qui ratent leur folie.
L'essentiel de l'homme c'est de réussir sa folie...
 
  • François Tosquelles

23/11/2015
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KIT de VIE

 

Quelques phrases pour réussir sa vie ;

Elles ont été  prises au gré de mes lectures.

Ces phrases sont pour moi, des étoiles qui me guident dans la nuit de la vie

 

Nous ne pouvons être tenus comme responsables des choses qui nous arrivent mais nous sommes responsables de ce que nous en faisons ;

 

Il y a bien des choses qui nous paraissent impossibles que tant qu’on ne les a pas tentées.

 

Nous pouvons réussir demain ce que nous ne savions pas faire hier. Nous pouvons tous, demain devenir et être ce que nous ne sommes pas aujourd’hui.

 

Arrache-toi de ton lit et va à la fenêtre,

 

Regarde l’horizon le soleil va paraître

 

Cueille le jour nouveau comme un cadeau de dieu

 

N’attends pas pour cela de devenir vieux.

 

L’effort et la rigueur deviennent volupté quand on atteins le plaisir et la réalisation de l’œuvre

 

Lorsque l’on ne se brise pas, on devient plus fort.

 

L’avenir on ne peut le prévoir mais on peut le permettre.

 

Le propre de l’homme est de vivre non d’exister

 

Pour sauver sa vie, il faut savoir la perdre.

 

Reprendre vie, ça demande de la violence, une violence qui s’impose, c’est ainsi, c’est ce qu’il y a de plus beau.

 

Comprendre ouvre au monde et libère.

 

Si vous voulez que la vie vous sourie, apportez-lui d’abord votre bonne humeur ;

 

 Ce n’est pas en écoutant quelqu’un parler que l’on évolue. C’est en agissant et en vivant des expériences.

 

Notre plus grande réussite n’est pas de ne jamais tomber, mais toujours nous


23/11/2015
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BIEN VIVRE

   Santé : 


   1.       Bois beaucoup d’eau
    2..       Prends un déjeuner de roi, un dîner de prince et un souper de mendiant.
   3.       Mange plus de nourriture qui pousse dans les arbres et plantes et mange moins de nourritures  manufacturées.
    4.       Vis avec les 3 E : Énergie, Enthousiasme et Empathie.
    5.       Trouve un peu de temps pour méditer.
    6.       Joue plus souvent.
    7.       Lis plus de livres que tu en as lus en 2011 
   8.       Assieds-toi, en silence, au moins 10 minutes par jour.
    9.       Dors durant 7 heures au moins.
    10.     Fais des marches quotidiennes de 10 à 30 minutes et en marchant, souris.
   
  Personnalité
 


  11.     Ne compare pas ta vie à celle des autres. Tu n’as aucune idée à quoi ressemble leur vie.
    12..     Évite les pensées négatives ou les choses dont tu ne peux contrôler. Investis plutôt ton énergie dans le moment présent.
    13.     N’en fais pas trop. Connais tes limites.
   14.     Ne te prends pas trop au sérieux, personne d’autre ne te prend au sérieux..
    15.     Ne perds pas ta précieuse énergie en commérage.
    16.     Rêve plus souvent éveillé.
    17.     L’envie est une perte de temps. Tu as déjà tout ce dont tu as besoin.
  18.     Oublie les problèmes du passé. Ne remémore pas aux autres les erreurs passées. Ça ruine ton bonheur présent.
    19.     La vie est trop courte pour la gaspiller à détester. 
   20.     Fais la paix avec ton passé afin qu’il ne ruine pas le présent.
    21.     Personne n’est en charge de ton bonheur sauf toi.
    22.     Prends conscience que la vie est une école et que tu y es là pour apprendre. Les problèmes font simplement partie de ton curriculum qui apparaît et       disparaît comme la classe d’algèbre, mais les leçons que tu apprendras seront pour la vie.
    23..     Sourit et rit le plus souvent possible.
    24.    Tu n’as pas à gagner chaque dispute. Accepte d’être en désaccord.


  

   Société
 :


    25.    Téléphone à tes amis plus souvent ou envoies leur des courriels.
    26.    A chaque jour, donne quelque chose de bien à quelqu’un.
    27.    Pardonne autant que possible. 
    28.    Passe du temps avec des gens plus âgés que 75 ans et plus jeune que 6 ans.
    29..    Essaie de faire sourire au moins trois personnes quotidiennement.
    30.    Ce que les gens pensent de toi ce n’est pas de tes affaires.
    31.    Ton travail ne prendra pas soin de toi lorsque tu seras malade. Tes amis oui. Garde le contact.
   
   Vie
 :


   32.    Agis bien !
    33.    Débarrasse-toi de tout ce qui n’est pas utile, garde ce qui est beau ou joyeux. 
   34.    La nature guérit tout.
   35.     Qu’il s’agisse d’une situation bonne ou mauvaise, elle va changer…
    36.    Peu importe comment tu te sens, lève-toi, habille-toi et présente-toi.
   37.    Le meilleur est encore à venir.
   38.    Quand tu te réveilles le matin, remercie d’être en vie.

 


23/11/2015
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aimer le XXIème siècle

AIMER (quand même) le XXI siècle. Jena Louis SERVAN-SCHREIBER. Ed. Albin Michel. 139 p

 

 

Préface d’Edgar Morin.

 

En ce XXI siècle, nous sommes débordés, souvent inquiets, fascinés par le numérique, nomades dans notre carrière et notre vie amoureuse, incapables de se projeter dans l’avenir, ballottés entre ce qui menace et ce qui promet, plus seuls qu’avant, et toujours scotchés à notre écran.

Et, si nous vivions une nouvelle « renaissance » qui fut une époque tourmentée, pleine de doutes, mais riche de créations et de nouvelles libertés ?

Trouver du sens dans ce tourbillon, retrouver du temps au  milieu des urgences est peut-être à notre portée, si l’on redécouvre une philosophie de vie laïque au joli nom de sagesse.

On peut trouver des raisons d’aimer, quand même, le XXI siècle.

 

 

Quelques bribes de phrases, de paragraphes d’un livre qui peut nous faire réfléchir sur ce que nous sommes dans ce monde du XXI siècle.

 

« Ils ne savaient pas que c’était impossible, aussi ils l’ont fait » Marc Twain

«  Sans l’espérance, on ne trouvera pas l’inespéré » Héraclite

«  Avoir une conception du monde, c’est se former une image du monde et de soi-même, savoir ce qu’est le monde, savoir ce que l’on est…. Toute conception du monde a une singulière tendance à se considérer comme la vérité dernière sur l’univers, alors qu’elle n’est qu’un nom que nous donnons aux choses »…

Le temps que nous pouvions consacrer à chaque activité ou loisir, s’est réduit pour faire la place à d’autres. D’où un stress grandissant et, pire encore, de moins en moins de recul pour prévoir, comprendre, peser les conséquences de ce que nous entreprenons…

Chaque nouvelle dans une même journée nous est serinée des dizaines de fois. Quel sens peut produire ce formidable dispositif technologique voué au bégaiement inlassable…

Pourtant il n’y a, en soi, rien de mal à vivre au présent. Les sagesses asiatiques considèrent depuis des millénaires que seul existe l’instant, celui dont nous sommes conscients maintenant. Passer à coté de ce maintenant par distraction ou surcharge, ce n’est pas l’avoir pleinement vécu. Ce qui nous stresse aujourd’hui, c’est que, du fait de cette surcharge, nous ne jouissons pas vraiment de chaque instant…

Très vite, dans la seconde moitié du XXe siècle, la consommation est passée d’une simple nécessité à un comportement, une culture, bientôt une compulsion. Ne constate -t- on pas , selon le CREDOC, qu’entre le quart et la moitié des achats ne sont pas prévus avant l’entrée en magasin ?..

Désormais, le virtuel fait partie de notre vraie vie et l’enrichit notablement (nous pouvons tout savoir, tout voir à travers un écran d’ordinateur). A nous de ne pas oublier d’aller de temps en temps nous coucher dans l’herbe pour écouter le vent.

Pour pouvoir aimer ce siècle, il faut y trouver un sens et être capable de la considérer avec sagesse. Cela demande de la réflexion, mais ce devrait être dans nos moyens.

A l’orée des années 80, une fois le confort largement répandu, la demande de produits industriels s’est ralentie, la croissance aussi. Pour trouver du profit, il a fallu se tourner vers les jeux financiers, acquisitions, fusions, spéculations en tous genres. Les plus doués ont su en tirer parti pour s’enrichir encore plus vite…

Tant que les églises fournissaient une réponse obligatoire, celle de la foi et des textes sacrés, s’interroger sur le sens de la vie était impie. Depuis la sécularisation croissante du monde, peu nombreux sont ceux qui le trouvent encore dans la foi. Chacun sent qu’il doit se procurer sa propre réponse ou, s’il n’y parvient pas, noyer la question dans la consommation et le divertissement...

En revanche, la question du sens dans notre vie se pose à l’occasion de chacun de nos choix, de nos actes…

La vie même, par sa force, sa singularité, ses péripéties heureuses ou dramatiques, n’est-elle pas porteuse de son propre sens. Ainsi, la plupart de nos contemporains vivent sans trop se poser  de questions sur leur destinée, tant qu’ils ne sont pas confrontés aux crises et aux tragédies. Camus ne décrivait il pas l’absurde comme le monde vidé de son sens sans que soit effacé le tragique de l’existence

Au quotidien, l’importance du sens est du même ordre que celui du sel dans les aliments : sans lui, tout semble fade, peu appétissant. Une action dépourvue de sens, une attente imprévue, une conversation insipide, un mauvais spectacle dont on ne peut s’éclipser, sont subis comme un vide dérisoire, ou comme une puissante source d’ennui » ? Et n’avons-nous pas horreur de l’ennui ? Le sens dont nous ne pouvons pas nous passer est d’ailleurs à comprendre aux deux sens du mot : direction et signification. Il pointe vers où nous croyons et voulons aller, il indique  si ce qui se présente à nous en vaut la peine. Il nous rattache à la vision de l’existence que nous nous sommes bricolée, puisqu’il n’y a plus d’ « officielle ». Spontanément, nous tentons de donner de la valeur à n’importe lequel de nos actes, ordinaire ou exceptionnel, afin qu’il soit en cohérence avec nos idées et avec ce qui importe vraiment à nos yeux.

Une enquête récente (2012) du Trend Observer d’IPSOS vient de le confirmer : jamais la « demande d’humain » n’a été aussi forte dans les sociétés développées, en Europe, aux Etats unis, au Japon. Réaction palpable dans la dématérialisation des rapports que génèrent les relations en réseau. Une forte demande s’exprime donc de rencontres physiques, d’émotions, de stabilité et de continuité relationnelle, de civilité et de politesse, de confiance et de sécurité. Comme si, collectivement, nous demandions à trouver un havre après avoir parcouru le monde à la vitesse de la lumière…

Pour faire une hypothèse, optimiste ou pessimiste sur notre époque, il faut lever la tête du guidon sur lequel nous vivons courbés, obsédés par nos problèmes à court terme et sans vision d’ensemble de l’évolution de l’humanité qui nous a précédés et qui nous succédera. Si l’on veut bien changer de lunettes, il apparaît que le progrès les plus décisifs au cours des âges, sont toujours non pas ceux des conditions matérielles de vie, mais ceux des mentalités et des valeurs………………………………………….


23/11/2015
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